Université, composantes et services
Université, composantes et services

IUT Robert-Schuman : « Mettre l’innovation pédagogique au service de tous »

Bernard Lickel et Sophie Kennel, directeur et ex-directrice-adjointe de l’IUT Robert-Schuman, en compagnie de Jonas Braun (au centre), responsable du Centre d'aide à la formation et aux études (C@fé).

Comment assurer le recrutement le plus large des étudiants, favoriser leur réussite sans négliger la poursuite d’études, s’adapter aux nouveaux usages ? Autant de questionnements qui sont ceux de tous les IUT, de celui d’Illkirch en particulier. Éléments de réponse avec Bernard Lickel, directeur de l’IUT Robert-Schuman, et Sophie Kennel, directrice-adjointe jusqu’à l’an dernier*.

Un mot qui caractérise votre établissement ?
Bernard Lickel :
Celui de diversité, à la base de notre richesse : diversité de notre recrutement (bac technologique et général en particulier, réorientation), de la composition de nos équipes (enseignants du secondaire, enseignants-chercheurs, 25 % de vacataires professionnels) autant que des parcours de nos étudiants (insertion professionnelle après le DUT, poursuite en licence professionnelle ou en études supérieures). Le réseau des 113 IUT mène au niveau national un travail de sécurisation de ces parcours, à travers l’élaboration d’une offre de formation plus claire, notamment quant au cursus licence [Bernard Lickel est président de l’Assemblée des directeurs d’IUT, N.D.L.R.].
Sophie Kennel :
Deux mots pour moi : réussite étudiante. En tant que chargée de mission sur cette thématique pour l’IUT pendant sept ans, j’ai été aux avant-postes pour constater l’émergence de nouveaux modes d’apprentissage et besoins pédagogiques (travail interactif, en groupes, par projet, effacement de la rupture entre temps scolaire et d’apprentissage). À partir de ce constat, confirmé par l’évaluation annuelle de nos formations et enrichi des travaux de recherches existants, l’idée est née de mettre en place un service et un lieu dédiés à l’accompagnement pédagogique des étudiants et des enseignants. À la faveur du déménagement de notre bibliothèque dans un bâtiment proche, notre Centre d’aide à la formation et aux études (C@fé) a été créé, il y a moins d’un an.

Depuis un an que le C@fé est en fonctionnement, quel bilan d’étape en tirez-vous ?
B.L. :
Le C@fé ne fonctionnant de façon effective que depuis février 2016, il est trop tôt pour cela même si le lieu a été rapidement investi par les étudiants. La priorité est de pérenniser un projet dont le lancement a été permis par des financements Idex.
J.B. : Nous sommes encore en phase d’ajustement mais après six mois, nous constatons qu’un premier pari est gagné : les étudiants, les enseignants et le personnel administratif se sont appropriés les lieux et le C@fé est un vrai générateur d’échanges et de collaboration. Afin de soutenir la montée en charge de nos activités, nous devons aussi accueillir bientôt un service civique, dédié à l’accompagnement des étudiants en difficulté.

Quels sont les grands projets de l’IUT pour les mois à venir ?
B.L. :
La rénovation du bâti, notamment énergétique, est un gros chantier. 17 millions d’euros nous ont été alloués dans le cadre du Contrat de plan État-Région. Il s’agit notamment de pallier un problème pointé de longue date par les étudiants : le manque de lieux de vie. L’agora, espace central, va être repensé, de même que les espaces de travail en groupes. Un bâtiment démonstrateur pour la filière génie civil va être construit.
Autre priorité : la poursuite de nos relations privilégiées avec le tissu économique − n’oublions pas que 100 % de nos parcours de licence sont accessibles en alternance. Dans cet esprit, nous avons créé un pôle Relations avec les partenaires l’an dernier, avec deux chargés de mission et un demi-poste administratif.

L’IUT fête ses 50 ans l’année prochaine…
B.L. :
Les premiers IUT ont été créés en 1966, le réseau des IUT célèbre donc un demi-siècle d’accueil de proximité des étudiants. L’IUT Robert-Schuman aura 50 ans en 2017. Un événement qui donnera lieu, entre autres, à un gala en fin d’année. Un grand moment en perspective !

Recueilli par Elsa Collobert

* Sophie Kennel, enseignante et chercheuse associée (département Information-communication de l’IUT Robert-Schuman/ Laboratoire interuniversitaire des sciences de l’éducation et de la communication, Lisec), est depuis la rentrée directrice de l’Institut de développement et d’innovation pédagogiques (Idip).

Université, composantes et services

La Maison des personnels nouvelle génération, c'est pour 2018

La Maison des personnels sera construite majoritairement en bois.

À partir de fin 2018, les activités de loisirs et de formation des personnels Unistra et CNRS seront accueillies dans un nouvel espace : la Maison des personnels déménage de son bâtiment historique du 43 rue Goethe à la place du Foin, face à la bibliothèque U2-U3.

Place du Foin, à l’emplacement actuel d’un parking et au plus proche du campus Esplanade, une Maison des personnels va sortir de terre fin 2018. Imaginé dans le cadre de l’Opération campus, ce nouveau pavillon a vocation à regrouper les sessions de formation des personnels, notamment en informatique, aujourd’hui éclatées sur le campus. La Maison des personnels accueillera également les activités du Service pour la promotion de l’action sociale (Spacs) de l’Unistra et du Comité local d’action sociale (Clas) du CNRS, grâce à des espaces repensés. Les 1300 m2 de surface, répartis entre espace de convivialité, salle d’activités physiques, centre de ressources, cafétéria, salles informatiques, salles d’activité et de formation, bureaux et salles de réunion, ont la particularité d’être pour partie modulables, afin d’optimiser l’espace en fonction des besoins, différents selon les moments de la journée. La cafétéria, nouvel espace, accueillera des ateliers cuisine.
« D’aucuns regretteront le charme du bâtiment historique du 43 rue Goethe, avance Patrick Vuillez, directeur du Spacs. Mais ce nouvel espace répondra pleinement à la vie du service et aux attentes des collègues usagers du Spacs. Ils y seront accueillis pour le traitement de prestations sociales, le service de billetterie à prix réduits, et pour les nombreuses activités d’épanouissement personnel et de recherche de convivialité. L’offre actuelle des activités pourra s’élargir à d’autres propositions de collègues désirant faire vivre cette maison commune. »
Les travaux de la Maison des personnels, d’un budget de 4 millions d’euros, doivent s’étaler sur deux années (2017 et 2018).

Université, composantes et services

Un nouveau format de portraits dans L'Actu

Durant cette année universitaire, L’Actu part à la découverte des métiers du numérique au sein de l’université.

Du développeur à l'ingénieur système en passant par l'administrateur d'application, les profils sont divers et variés. Qu’est-ce qui se cache derrière ces noms de métiers ? En quoi consistent les journées de travail de ces collègues qui œuvrent au sein de l’établissement ? Éléments de réponse grâce à une série de portraits métiers publiée dans un numéro de L’Actu sur deux.

  • Le premier portrait, ci-dessous, présente le métier de développeur

Université, composantes et services

Nom de code : « pro du code »

Arnaud Grausem, développeur informatique, fait l'objet du premier portrait de la série de L'Actu consacrée aux métiers du numérique au sein de l'université.
Arnaud Grausem, développeur et responsable du pôle Développement, intégration et paramétrage (DIP) de la Direction informatique (DI)

Le métier de développeur existe depuis les débuts de l’informatique. Pourtant, il peine à être vraiment connu du grand public. Pour les néophytes, le développeur est l’objet de tous les fantasmes : tantôt représenté comme sauveur d’un monde englué dans la matrice, tantôt comme un être asocial qui passe ses journées les yeux rivés sur un écran, tantôt comme un petit génie qui développe un site web pour mettre en relation le monde entier. La réalité des faits est bien plus simple : il s’agit d’une personne créative, maîtrisant les langages de programmation informatique afin de concevoir et réaliser les applications du monde numérique.

Un développeur, c’est d’abord quelqu’un qui maîtrise des langages informatiques utilisés pour « parler » à un ordinateur, lui donner des instructions, lui faire exécuter des tâches ou traiter des données. Incompréhensibles pour le commun des mortels, les langages informatiques sont des outils très normés et rigoureux, qui permettent de construire tout ce qui fonctionne sur un ordinateur, un smartphone ou un serveur : des logiciels de bureau, des applications mobiles, des logiciels métier, des applications web...
Un métier qui nécessite des qualités particulières, comme l’explique Arnaud Grausem, développeur et responsable du pôle Développement, intégration et paramétrage (DIP) de la Direction informatique (DI) : « Être créatif, ne pas se reposer sur ses lauriers et pouvoir se remettre en question ».
Un développeur se doit d’être créatif pour donner vie à ce qui n’est souvent, au départ d’un projet, qu’un concept sans existence tangible. Dans cette optique, le langage informatique fournit un ensemble d’outils à la manière des briques de Lego qu’il peut assembler à l’infini.

Un esprit créatif et une organisation rigoureuse

Un développeur se doit également d’être curieux, pour suivre les évolutions technologiques incessantes qui amènent leur lot de nouveautés. Ce travail de veille est bien souvent mené en dehors du cadre professionnel, en réalisant des projets personnels ou en participant à l’élaboration de logiciels libres.
Il doit savoir se remettre en question et accepter la critique, constructive, qui est monnaie courante dans ce milieu. Ceci implique de savoir faire preuve de souplesse et d’une bonne capacité d’adaptation, aussi bien dans les outils à employer que dans les méthodes de travail.
Avant d’écrire la moindre ligne de code, il doit comprendre les besoins des commanditaires et les analyser pour concevoir l’outil informatique à même de répondre de la meilleure façon possible à la problématique de départ. Cette phase de réflexion en amont est d’autant plus nécessaire qu’il existe mille et une façons différentes de créer avec un langage informatique. Toutes ne sont pas de la même qualité et ne permettent pas de rendre le logiciel aussi fiable et évolutif. « Comme pour un projet de construction immobilière, il faut connaître dès le départ le périmètre de ce que l’on veut construire, sinon c’est très chronophage et coûteux de revenir en arrière et rajouter des éléments », indique Arnaud Grausem. Ce travail en deux temps a donné naissance à un autre intitulé pour désigner ce métier : « analyste-programmeur ».

Un humain derrière la machine

Un développeur doit savoir travailler en équipe. Les travaux sont souvent répartis entre plusieurs personnes, grâce notamment à des outils de « social coding ». Àl’université, l’équipe du DIP est ainsi composée de treize développeurs qui conçoivent et réalisent certains des outils informatiques utilisés par l’ensemble de la communauté universitaire au quotidien : des modules de Moodle, la Gestion électronique des documents (GED) ou bien encore des outils de gestion spécifiques pour les services centraux (ARC pour la DRH, etc.).
Pour devenir développeur, il faut avoir suivi un cursus en informatique, avec une spécialisation en développement logiciel. Il n’y a pas à chercher très loin pour trouver ce type de formations : il en existe au sein même de l’Unistra, telles que la licence professionnelle Systèmes informatiques et logiciels de l’IUT d’Illkirch ou bien encore le master Informatique-Ingénierie des logiciels et des connaissances de la Faculté de mathématique-informatique.
Comme Monsieur Jourdain qui découvre qu’il fait de la prose sans le savoir, à chacune de nos interactions avec un ordinateur nous interagissons avec du code informatique rédigé par un développeur. Un humain se cache bien derrière la machine !

Edern Appéré

Université, composantes et services

La Gestion budgétaire et comptable publique effective au 1er janvier 2017

Le budget 2017 présenté au conseil d’administration de décembre 2016 sera le premier budget mis en application dans le progiciel Sifac au format Gestion budgétaire et comptable publique (GBCP). En effet, 2017 verra l’application totale du décret réformant le cadre budgétaire des établissements publics.

Connaître les engagements pluriannuels de l’établissement : c’est l’un des objectifs affichés de la mise en place à l’université de la Gestion budgétaire et comptable publique (GBCP). Un changement de pratiques effectif début 2017, avec l’introduction de nouvelles notions : autorisation d’engagement (AE), crédits de paiement (CP) et recettes encaissables (RE).
Ces notions permettront aussi d’avoir une vision plus fine de la trésorerie prévisionnelle, notamment celle des opérations fléchées telles que l’Idex, le Plan campus, le Contrat de plan État-Région (CPER). L’appréciation de l’équilibre du budget se fera non seulement sur le résultat et la variation du fonds de roulement mais aussi en tenant compte de la variation de trésorerie. Ce qui doit conduire à améliorer le pilotage financier de l’établissement.
Enfin, évolution complémentaire, l’élargissement du champ de la dématérialisation des factures. Les fournisseurs de l'université devront progressivement déposer leurs factures sur un portail de l’État.

Université, composantes et services

Savoir(s) numéro spécial : À l'épreuve du temps

Pour ce nouveau numéro spécial, le magazine Savoir(s) décline le temps au travers de ses rubriques habituelles, en identifiant à chaque fois une problématique particulière.

Il n’y a pas une discipline scientifique ni un champ thématique qui n’inclue la notion de temps. Chacun l’aborde à sa manière avec au final une diversité d’approches qui donne à ce concept un statut bien particulier et définitivement pluridisciplinaire. Que ce soit à l’échelle des mécanismes biologiques ou à celle de l’évolution du climat ou encore à celle de la physique atomique, les temps sont bien caractéristiques. La notion de rythme et dynamique en est un autre volet que l’on peut retrouver dans les domaines de la médecine, de l’économie, de l’histoire ou encore la formation.
Pour la recherche, le temps sera vu sous l’angle de la mesure ; pour la formation sous l’angle du cycle. Dans la rubrique « Vivre ensemble », ce sont les représentations du temps qui seront abordées. Enfin, les deux dernières rubriques nous emmèneront ailleurs : vers des temps rêvés, fantasmés et parallèles pour la première, éprouvés ou éprouvants pour la seconde.

  • À retrouver en ligne, en plus du magazine imprimé

Université, composantes et services

Un logiciel pour prévenir le plagiat et sensibiliser les étudiants

Depuis plus d’un an, l’université dispose d’une solution unique de détection des similitudes, autrement dit un logiciel anti-plagiat. À l'occasion de cette rentrée, une campagne de sensibilisation à l'échelle de l'établissement vient d'être lancée, l'objectif étant de responsabiliser les étudiants aux bonnes pratiques en matière de partage d'informations.

En septembre 2015, sur la base d’un financement de l’Initiative d’excellence, l’Université de Strasbourg a acquis les droits d’utilisation du logiciel Compilatio. Le principe en est simple : suite au dépôt d’un document dans ce logiciel, les éléments de texte sont finement analysés. Le logiciel fournit ensuite un rapport avec un pourcentage de similitude, en indiquant les sources identifiées en cas de doute. « Si cet outil est une aide pour détecter une fraude éventuelle, il représente également un outil pédagogique de plus pour les enseignants chercheurs permettant d’aider les étudiants à avoir un regard critique et à faire preuve de rigueur dans leur production », explique Philippe Portelli, directeur de la Direction des usages du numérique (DUN).

S’interroger sur ses pratiques

À ce jour plus de 12 000 documents ont été analysés, les rapports d’analyse produits ont été consultés plus de 27 000 fois. « Les enseignants se sont appropriés cet outil, l’utilisant autant comme un objet d’alerte que de dialogue », insiste Philippe Portelli. Il s’agit bien d’éduquer les étudiants aux bonnes pratiques. Dans le dialogue avec leurs enseignants, les étudiants ont notamment la possibilité d’acquérir les bons réflexes en matières de partage d’informations ou de citation de sources. » Ce nouveau déploiement de la solution Compilatio est accompagné d’un plan de soutien assuré par le département Ingénierie pédagogique et médiatisation de la DUN.

Frédéric Zinck

Université, composantes et services

Journées de l’innovation : une centaine d'étudiants ont relevé le défi

Quelle relation entre innovation et bonheur à l'école ? Que viennent chercher les grandes entreprises à l'université ? C'est par ces questions-clés qu'a débuté la première édition des Journées de l’innovation, organisées à l'Université de Strasbourg, à l'initiative de la Faculté de sciences de l'éducation, les 23 et 24 septembre.

L'événement, proposé pendant deux journées consécutives dans les locaux de la Faculté de physique et d'ingénierie, n'offrait pas seulement l'opportunité de réfléchir à l'innovation, mais d'agir et de relever des défis. Grâce à la mobilisation d'une dizaine de composantes et au partenariat de la plateforme web Agorize*, une centaine d'étudiants de disciplines différentes ont profité de cet espace d’expression unique.

Arnaud : « Une diversité des approches »

Au sein d'équipes hétérogènes issues d'UFR très différentes (Faculté de physique et d’ingénierie, Faculté de sciences de l’éducation, département Information-communication de l'IUT Robert-Schuman, Faculté des arts…) les étudiants ont pu relever des défis ambitieux lancés par de grandes entreprises telles que Air Liquide et Total ou encore La Banque populaire de Paris, les collectifs d'entreprises Doctissimo, Cegedim.
Ce décloisonnement des disciplines et des niveaux universitaires était résolument un plus. « L'écart entre les niveaux scolaires des étudiants (de la première année d'IUT au master 2) n'a pas du tout été contraignant » confie Arnaud. Selon l'étudiant du master Conception, formation, technologie (Faculté de sciences de l'éducation), il a permis au contraire « une diversité des approches, avec des échanges nourris, constructifs et plus encore, des propos souvent drôles et très détendus mais toujours au service du travail de qualité à fournir ».
Basés sur des critères de sélection définis, à savoir la pertinence, l’originalité mais aussi le réalisme et la qualité de la présentation définitive, les projets des étudiants ont la possibilité d'aboutir à de véritables stratégies pour les entreprises.
Arnaud a choisi par exemple de travailler sur un projet d’utilité sociale, portant sur la gestion de l’urgence à domicile en direction du tout public et avec l’aide d’un téléphone portable. Avec son équipe de trois personnes, ils ont développé un prototype d'application pour smartphone.

Sedef : « Me tester moi-même »

Bien plus qu’un concours, ces Journées de l’innovation sont d'abord une véritable expérience professionnalisante pour les étudiants. Sedef, étudiante à la Faculté de physique et ingénierie, constate qu'elle a pu « s’essayer à la recherche et participer à un projet de taille », mais aussi, et surtout, « me tester moi-même et voir de quoi je suis capable ».
Les entreprises ne participent pas à ces Journées de l'innovation par hasard : de nombreux recrutements font suite aux challenges. Une opportunité supplémentaire pour les étudiants d’étendre leur réseau professionnel et de valoriser une expérience concrète lors de futurs entretiens d’embauche.

Céline Schell et Muriel Béasse

* La plateforme Agorize compte 50 000 étudiants inscrits, dont 20 000 venant de 140 pays différents.

Université, composantes et services

Trois bibliothèques de l'université labellisées Marianne pour leur accueil de qualité

Trois bibliothèques de l'Université de Strasbourg – bibliothèques de médecine et odontologie, du Pôle européen d'économie et de gestion (Pege) et U2-U3 – ont été labellisées Marianne.

Depuis le mois d'octobre 2015, ces trois bibliothèques étaient engagées dans la démarche de labellisation qui vise à l'amélioration de la qualité de l'accueil pour tous les usagers. Elles ont été accompagnées et soutenues dans ce travail par l'université, qui compte déjà plusieurs services et composantes labellisés. À la suite d'un audit indépendant qui s'est déroulé au début du mois de juillet 2016, ces efforts ont été récompensés par l'attribution du label Marianne, qui atteste du respect de 19 engagements sur la qualité de l'accueil. Il est valable trois ans et sera réévalué à mi-parcours par un nouvel audit.
Ces bibliothèques rejoignent le club restreint des bibliothèques universitaires labellisées, qui ne comprenait pour l'instant que les bibliothèques d'Albi et de Paris-8.

 

Université, composantes et services

Un workshop pour célébrer 20 ans de collaboration avec Riken (Japon)

Pour célébrer deux décennies de collaboration fructueuse avec les chercheurs du prestigieux institut japonais Riken, l'Université de Strasbourg invite quelques-uns de ses éminents biologistes, chimistes et physiciens pour deux jours de workshop (27 et 28 octobre).

Par l’excellence de sa recherche, embrassant la plupart des disciplines, Riken est l’institution scientifique la plus renommée du Japon. En 1996, l’Université Louis-Pasteur et Riken ont signé une convention en recherche académique afin de développer tant leur coopération que leurs échanges. Ainsi, durant ces vingt années, plus de vingt scientifiques issus de Riken ont visité l’Université Louis-Pasteur (devenue l’Université de Strasbourg), et un nombre équivalent de scientifiques strasbourgeois ont visité Riken.
À l’occasion du 20e anniversaire de cette convention, l’Université de Strasbourg a invité d’éminents scientifiques de Riken, leaders dans de nombreux domaines de la biologie, de la chimie et de la physique, ainsi que de jeunes et prometteurs directeurs d’équipe. Ce symposium, qui se déroulera en sessions parallèles, réunira des conférenciers de Riken et de l’Université de Strasbourg. Il constituera une excellente occasion pour de jeunes chercheurs et doctorants de profiter de la tenue de séminaires à la pointe des connaissances, voire d’initier une future collaboration avec Riken et le Japon.

Université, composantes et services

Futurs journalistes, inscrivez-vous !

En partenariat avec le Centre universitaire d'enseignement du journalisme (Cuej) et en collaboration avec le Club de la presse de Strasbourg, la Chance aux concours (CAC), préparation gratuite aux écoles de journalisme, recrute des étudiants pour l’année 2016-2017 dans son nouveau pôle créé à Strasbourg.

À partir de novembre 2016, ils seront accompagnés pendant huit mois par des journalistes professionnels. Les inscriptions sont ouvertes jusqu’au 16 octobre.
Depuis dix ans, la CAC aide des boursiers à intégrer les écoles de journalisme. Avec succès ! Sur 300 étudiants suivis depuis 2007, près de deux sur trois ont intégré une école et huit sur dix sont devenus journalistes.
De novembre à juin, les étudiants sélectionnés suivent un programme de formation complet le samedi et le soir en semaine : rédaction d'articles, de synthèses, questionnaires d'actualité et de culture générale, concours blancs, etc. Ils sont suivis par des journalistes en activité qui agissent à titre bénévole.
La CAC apporte aussi son soutien aux jeunes boursiers pour financer les concours : en payant une partie de leurs frais d’inscription, déplacements et hébergements pour se rendre aux épreuves.
Lorsqu’ils sont admis, la CAC les aide à payer les droits d’inscription à l’école, en fonction de leurs échelons de bourse.

Université, composantes et services

Réunions institutionnelles : calendrier 2016

 Octobre Novembre
Conseil académique
14 h - Mardi
 /  22
Congrès
14 h - Mardi
 / /
Conseil d'administration - CA
14 h - Mardi
 / 15
Commission de la formation et de la vie universitaire - CFVU (ex-Cévu)
14 h - Mardi
 18 8
Commission de la recherche - CR (ex-CS)
14 h 30 - Mercredi
 / 23
Conférence des directeurs de composantes
14 h 30 - Mardi
 / 2-29
Conférence des directeurs des unités de recherche
10 h - Vendredi
 14 /
Réunion des responsables administratifs de composantes et des chefs de services centraux
9 h - Lundi
 / 28
Comité d'hygiène, de sécurité et des conditions de travail
14 h - Lundi
 17 21
Comité technique d'établissement
8 h 30 - Jeudi
 6 /

Université, composantes et services

Liens vers les lettres électroniques utiles